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Une médiation administrative de la préfecture s’impose

Au vu de l’échec des négociations et de l'incapacité de Pascal Bugis à instaurer un dialogue social, nous appelons à une médiation administrative de la préfecture.

Il est urgent de donner une réponse décente aux demandes légitimes des éboueurs ; leurs revendications n’ont pas changé depuis le premier jour de grève, au contraire de ce que prétend Pascal Bugis. Les réponses données permettront de rétablir au plus vite ce service public indispensable.

Plus d’un tiers des éboueurs sont des contractuels ! Nous sommes bien loin des emplois

« garantis à vie » décrits par Monsieur le Président...


Rappelons que chaque jour de grève donne lieu à une retenue égale à 1/30me de la rémunération (salaire + ensemble des primes). Qui peut en toute honnêteté penser qu’il s’agit d’une grève de «privilégiés » ? Quand les droits élémentaires du code du travail sont bafoués et qu’un simple audit par la médecine du travail est refusé ?


Quant à faire « payer » les contribuables en augmentant la taxe d’enlèvement des ordures…. Qui peut croire que ce serait la seule solution ?? Les 10 plus hautes rémunérations versées à la Communauté d’agglomération en 2020 représentent 616 770 €, sans compter les cumuls de fonctions particulièrement rémunérateurs…


Une gestion qui soulève des interrogations : un camion quasiment neuf, d’une valeur de 300 000 euros, est en panne depuis presque trois ans, avec 19 000 kilomètres au compteur !

Une collectivité devrait être exemplaire dans la gestion de ses services et de ses ressources humaines.

Il s’avère que sur notre territoire, nous sommes très loin du compte. Il est aujourd’hui urgent qu’un dialogue social s’instaure enfin et qu’une médiation soit mise en place.



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